Concepts de Construction d'un Alambic

Ce qui suit sont quelques un des facteurs devant être considéré si vous construisez un alambic.

Chauffage

De préférence électrique - puissance facile à régler, et aucune flamme pour mettre le feu à des vapeurs parasites. Mettre l'élément dans le récipient réduit le risque, toutefois il doit être placé de façon à pouvoir facilement nettoyer autour de lui. Interne signifie également que vous devez toujours maintenir une quantité minimum de liquide dans l'alambic, de sorte qu'il ne chauffe pas à sec. Sur le mien qui fait 6L - c'est un peu juste si je fais une petite passe expérimentale. Quelques alambics sont montés avec deux éléments - le second est employé pour accélérer la période de préchauffage.

Si vous employez le gaz, observez les conseils suivants de David Reid :

Le gaz pour le chauffage est parfaitement sûr tant qu'il n'entre pas en contact avec l'alcool, Par exemple : la flamme nue ne doit pas entrer en contact avec de l'alcool sous la forme liquide ou vapeur. A un très faible % rien ne se produira, à un % moyen l'alcool brûlera, et à un % élevé il détonera et explosera. J'emploie le gaz (bouteilles de 9kg l.p.g.(Liquefied Petroleum Gas donc butane/propane)) avec mon petit alambic en verre que j'emploie pour l'expérimentation et pour les plantes. Les conditions que vous devez avoir ou rencontrer sont les suivantes :
1) Vous ne devez avoir aucune fuite.
2) Vous devez avoir une commande de température précise, ou assez d'expérience pour savoir ce qui se produit à tout moment et assez bien juger de la température.
3) Vous devrez rester attentif à tout moment et ne pas le laisser sans surveillance même pendant une courte période.
4) La zone dans laquelle il est employé dedans doit être bien aéré, en tout cas suffisamment pour qu'il n'y ait aucun risque d'accumulation de vapeurs d'alcool qui provoqueraient une explosion.
5) Dans le meilleur des cas le récipient récepteur d'alcool doit être situé au moins 10 à 12 pieds (3m à 3,5m) loin de la flamme du gaz pour limiter les risques de débordement et par conséquent d'incendie ou d'explosion.
6) Les tuyaux transportant l'alcool du condenseur au récepteur ne doivent pas pouvoir être brûlés, fondu, ou capables d'entrer en contact avec le corps chaud de l'alambic ou la chaudière.
Le gaz est un bon milieu mais vous devez savoir ce que vous faites. Comme toute chose ayant à voir avec le feu « C'est un bon domestique mais un mauvais maître ». Pour votre premier alambic je ne le recommanderais pas. Si vous lisez assez de livres d'histoire vous verrez que beaucoup de bouilleurs hors-la-loi ont subit eux-mêmes pas mal de dommages de même qu'un grand nombre de bâtiments ont été incendiés. Aujourd'hui avec de bons régulateur et commandes il n'y a aucune raison pour subir une nuisance ainsi si c'est ce que vous voulez employer allez-y mais soyez bien sûr de ce que vous faites. Après avoir dit ça je précise qu'il y a eu et qu'il y a toujours de temps en temps un certain nombre de cadavres frits de personnes qui pensent savoir ce qu'elles font avec l'électricité. Bonne chance quelque soit le chemin vous choisirez et n'ayez pas peur de poser des questions. Ayez un bon entretien avec votre compagnie locale de gaz, B.O.C GAS Co (British Oxygen Company), Air Liquide ou votre fournisseur local de butane/propane.

Certains emploient également un bain d'eau ou assimilé, pour éviter le contact direct avec la chaleur, ce qui peut brûler les grains ou les fruits si ce n'est pas soigneusement fait. Vous trouverez ici un résumé complet des différentes méthodes essayées par Todd…

J'ai justement fait une compilation de ces f...ues recherches et expériences de laboratoire et de garage avec des bains d'eau. Voici mes résultats.

Votre chaudière DOIT être métallique. Le verre ne conduit pas assez bien la chaleur pour faire bouillir l'éthanol dans un bain d'eau. J'ai fait des « recherches » de distillations d'absinthe et de genièvre à petite échelle. J'emploie des quarts et gallons non doublés, de nouveaux bidons de peinture. Ils travaillent assez bien avec de l'eau seulement. Je n'ai pas assez creusé pour collecter toutes les queues, mais ma perte est seulement de 7%

Je suis contre les glycols, en particulier dans votre cuisine. Oui, ceux-ci augmenteront le point d'ébullition de quelques degrés quand ils sont mélangés avec de l'eau (ne jamais chauffer du glycol pur), comme le sel. Les glycols dégagent des quantités copieuses de vapeur une fois chauffés. Inutile de se demander pourquoi des glycols de propylène sont employés dans les machines à produire de la fumée. Quand les glycols purs sont chauffés, les vapeurs sont combustibles. Une éclaboussure sur l'élément chauffant et vous aurez besoin d'un extincteur vraiment très très vite (ne pas me demander comment je sais ça...). Si vous devez utiliser des glycols, prenez du glycol de propylène, pas de l'éthylène-glycol. Le premier est non-toxique, le dernier l'est. Vous pouvez obtenir de l'antigel « sympa pour l'environnement » chez n'importe quel Autozone [magasin pour l'automobile)].

L'huile minérale et les huiles de cuisine ont été mentionnées sur sci.chem comme liquides de bain de chauffage. Les huiles végétales ont tendance à se décomposer rapidement aussi elles ne sont pas bien bonnes pour la réutilisation. Les graisses animales et végétales complètes (saindoux, Crisco) sont nettement mieux dans ce domaine.

Alors que j'expérimentais le verre contre le métal, j'ai cessé de rechercher des additifs pour élever le point d'ébullition de l'eau et je me suis arrangé pour un processus limitant la vapeur à une température d'environ 198-199°F (92-93°C).

www.lehmans.com puisque je suis impatient et que je déteste les lieux d'échanges, je privilégie très sérieusement cette piste.

2. Baril de bière en inox reconverti. Ces barils sont des articles pratiques encore très en usage de nos jours, et par conséquent moins rares que les bidons de lait. Pour le volume qu'ils peuvent contenir, ils sont sûrement le récipient en inox le plus économique que vous pouvez acheter. Si vous avez des outils et le savoir-faire, convertir un baril est probablement la meilleure manière de faire. Vous pouvez trouver de vieux barils chez les ferrailleurs ou les maisons de brassage. Garder à l'esprit qu'un baril quelconque que vous trouvez à la ferraille, s'y trouve pour une bonne raison. Ils peuvent avoir de petites piqûres ou des fissures, aussi faites un contrôle. Si vous voulez des barils de luxe contrôlés et professionnellement convertis vous pouvez les obtenir chez Sabco. Sabco vend quelques modèles qui sont jolis et bien pré-adaptés à notre passe-temps collectif. (Bien qu'ils ne soient pas sur le marché pour ça!). L'un d'entre eux s'appelle « Selective Sankey » qui a un orifice de 4" et une soupape de sécurité installée sur le dessus. Parfait ! Le seul problème est le prix à qui vous prend à la gorge de $196,75 US. : - (l'autre modèle qui offre un intérêt particulier est le kit de brasseurs de DIY, qui est un simple baril avec un trou parfait de 12" (30cm) découpé sur le dessus. A un prix mieux négociable au sein du ménage de $59.95 US, ce peut être la clé de la voie du moonshine dans un budget. Ils adaptent également des barils aux besoins du client, ainsi si vous voulez, par exemple, un demi-baril au lieu d'un entier, ou si vous voulez une vanne à bille attachée au fond du baril, ils feront cela. (Surcoût d'environ $50 USA par article) Sabco vend des couvercles de 12" qui s'adaptent parfaitement au trou soi-disant, mais je considérerais qu'il est suffisant d'utiliser un saladier comme illustré dans « Building a World Class Home Distillation Apparatus». L'adresse du site Sabcos est http:www.kegs.com j'aime l'option des barils, mais je ne veux pas dépenser $200 pour « Selective Sankey » (ou $250 si fais mettre 2 NPT [National Pipe Thread : raccords filetés] sur le dessus plutôt qu'une « Sankey valve »), et le kit de DIY, bien que ce soit meilleur marché qu'un bidon de lait, ce n'est pas « net ». Je m'inquièterai de trouver un bon joint pour le couvercle.

3. Marmite et/ou saladier ou saladier double. C'est une autre option attrayante, particulièrement pour de plus petites chaudières. Les moins concernant ce choix sont que les grandes marmites peuvent être très chers, et que vous devrez traquer le saladier qui s'adaptera parfaitement sur le dessus de la marmite. Si le couvercle de la marmite s'adapte assez bien, il peut être employé, mais s'il n'est pas assez profond il ne fournira pas l'appui approprié pour la colonne. Quelques marmites en cuivre intéressantes figurent de temps en temps sur eBay. Cette option de la marmite est intéressante, mais elle peut également être frustrante car des marmites de 5-10 gallons en inox ont un prix rarement raisonnable. J'ai eu personnellement une frustration majeure quand j'ai essayé de mettre en oeuvre ce choix, aussi je l'ai donc à peu près abandonné.

4. Réservoirs de chauffe-eau en cuivre. Après quelques appels à quelques ferrailleurs locaux, j'ai appris que les réservoirs de chauffe-eau en cuivre sont très rares de nos jours. À mon humble avis, ils sont la « perle rare » pour n'importe qui intéressé à construire un alambic traditionnel tout en cuivre. Si vous en avez un, ou en trouvez un, je vous envie. Je reste à l'écoute, mais je dois également continuer mon projet, donc pour le moment je range cette possibilité de dénicher un réservoir en cuivre sous le terme de « rêve de tuyauterie » pour maintenir ma santé mentale.

5. Les bonnes fortunes. Si vous avez un baril, ou un réservoir, ou une marmite etc., de la taille appropriée que vous avez obtenu pour rien, employez-le! Vous ne trouverez jamais quelque chose en vente qui soit aussi bien à moins d'être vraiment chanceux.

Couvercles

C'est un besoin d'être bien fermé, ok, mais il ne pas provoquer un risque d'accumulation de pression si le condenseur ne fonctionne pas. Certains poussent simplement dessus, et il tient par son propre poids. D'autres les attachent avec quelques pinces. Vous pouvez envisager dufférentes techniques pour la valve de décompression - par exemple une bague en caoutchouc. Quelques uns emploient une longueur de PVC coupée sur la longueur pour l'adapter autour du bord du couvercle - ceci se déforme quand le couvercle est fermé, et joue le rôle d'un bon joint. Si je traite un moût qui est à une ébullition vigoureuse (par exemple du malt, avec des sucres non encore fermentés), j'emploierai quelques « sandows » - des cordes en caoutchouc avec un crochet chaque extrémité - pour aider à juger la « poussée sur » le couvercle en place. Se rappeler il faut ouvrir le couvercle, ou une valve, juste après avoir fini, ou bien la vapeur en se refroidissant causera un vide, qui peut faire imploser votre alambic si l'air ne peut pas rentrer à nouveau dans le système.

Je considère que l'alambic traditionnel est le seul cas où la forme du couvercle est importante, et que vous comptiez sur la forme du couvercle pour fournir une superficie supplémentaire de refroidissement afin d'induire un peu de reflux interne qu'il faut distribuer pour obtenir un fonctionnement efficace.

Mais dans un alambic à reflux, où vous générez une quantité de reflux bien plus grande à partir du dessus de la colonne, vous comptez qu'il fasse jouer sa magie au-dessus du packing de la colonne (pour faire l'équivalent de redistillations disons 8-10), et non par l'intermédiaire du couvercle (où vous ne pourriez obtenir qu'une demi redistillation efficace s'il avait une bonne superficie.)

En termes de si, mettre le raccordement de la colonne décentré va affecter le flux montant de la vapeur dans la colonne etc., l'hydraulique de base nous indique que la pression dans un récipient est la même dans toutes les directions - par exemple un pneu de voiture sera à plat si le trou est au dessus ou en dessous - ainsi dans notre cas, la vapeur se dirigera par le trou dans le couvercle, quelque que soit l'endroit où il est situé.

Condenseur

Si vous ne voulez pas qu'il se bloque, alors il faut le fabriquer de sorte à ce qu'il puisse être régulièrement nettoyé ; si vous utilisez une grande longueur de tubes (disons avec un réservoir de refroidissement), assurez vous que vous n'en pliez pas accidentellement.

L'eau de refroidissement

Vous en avez besoin en abondance. Installez votre alambic près d'un robinet et d'une vidange. Ajuster l'écoulement de l'eau de refroidissement de sorte que le distillat soit chaud au toucher, mais ni trop chaud ni trop froid. Si vous êtes branché sur réservoir ou un petit puits, et ne pouvez vous permettre une consommation excessive, essayez un système fermé. Utilisez une petite pompe pour faire circuler l'eau depuis une grande poubelle, à travers le condenseur, et puis faite couler dans la poubelle sur un tuyau en pente (par exemple avec un refroidissement à air comme un ventilateur). J'ai eu des problèmes pour maintenir l'eau assez fraîche quand la température de l'air était de 30°C, mais cela devrait être parfait dans un climat plus frais. Une autre solution est de congeler des bouteilles de soda de 2 litres remplies d'eau dans votre congélateur, et de mettre ces dernières dans la poubelle quand ça devient trop chaud. Faire passer la tuyauterie d'entrée dans un sac de glace pilée marche pas mal également.

Cornfed écrit…

J'ai construit un système pour recycler le liquide réfrigérant du condenseur (voir les photos dans la partie dossiers du groupe Distillers chez http://www.yahoogroups.com). J'ai un alambic de conception de base Nixon-Stone. Il a une colonne à reflux de 36 pouces (91 cm) garnie avec des épurateurs en cuivre. Elle est bien isolée avec de la fibre de verre enveloppée dans une toile épaisse. J'ai fabriqué l'alambic à partir de cuivre de 2 pouces et puis j'ai utilisé des tubes de 1/4 pouce de diamètre extérieur [OD Outside Diameter] pour mon condenseur de 24 pouces de long (61cm) J'ai juste tout majoré pour adapter le design. Comme je ne voyais pas toute cette eau douce à l'égout, j'ai élaboré un système de récupération et de recyclage.

Avec une pompe je fais passer le liquide réfrigérant depuis un seau de 5 gallons (20 litres) vers l'unité du condenseur, et puis par un radiateur et de nouveau au seau. Il y a un montage de clapet de dérivation incorporé ainsi je peux régler l'écoulement par le condenseur. Pendant les mois d'été, j'actionne un ventilateur au-dessus du radiateur.

Les composants principaux sont le radiateur et la pompe de circulation. J'ai trouvé un condenseur d'occasion à partir d'une énorme unité de réfrigération chez un ferrailleur. Il a été construit avec 20 pieds (6m) de tubes en cuivre avec des ailettes de refroidissement en aluminium. ($5 US). Après quelques mésaventures qui m'ont couté cher, j'ai placé une pompe de la bonne taille et ça fonctionne correctement. C'est une pompe conçue pour remplir et vidanger un petit bassin et possède des accessoires aussi vous pourriez vidanger une cave ou un bassin à poisson ou d'autres petits travaux de pompage comme ça. Celle-ci a été faite par la compagnie Simer Pump. http://www.simerpump.com/ (environ $85 USA) celle que j'ai employée est dans la section des pompes et en bas. Elle est évaluée à 6 gal/mn (22 litres/mn) et a la capacité d'une charge statique de 35 pieds (10m). [peut monter l'eau à 10m????]. J'ai constaté un débit de un gallon par minute pour que le liquide réfrigérant fasse tout le cycle. J'ai trouvé par hasard une série de raccords en cuivre qui connectent les tubes 1/4" et les robinets. AINSI j'ai tout relié avec et comme ça je peux démonter rapidement et facilement si besoin est. J'ai acheté ma pompe dans un magasin Menards de matériaux, bois de charpente, construction. Je suis sûr qu'un Lowes ou une autre enseigne ferait l'affaire également.

C'est construit dans mon garage. Je vis dans une partie du monde où nous avons un hiver. Aussi j'ai souhaité pouvoir l'employer toute l'année sans craindre le gel. La substance rose dans les tuyaux et le seau est du glycol de propylène. Autrement connu comme antigel de camping-car ou de bateaux. J'avais besoin d'une substance qui ne gèlerait pas, et ne ferait pas tomber non plus mes cheveux s'il y avait une fuite interne. Cette substance est non-toxique pour les humains et les animaux de compagnie. Elle n'a pas bon goût, mais ça ne tue personne. Elle fait partie d'une liste de produits considérés comme sûrs [« GRAS » Generally Recognized As Safe (généralement reconnu comme sûr)] par l'administration de la consommation et des médicaments (généralement considéré comme sûr). En été je rince le circuit et reviens à l'eau. Je sauvegarde tous les seaux, je mets juste la canalisation de retour dedans et puis j'actionne la pompe jusqu'à ce que le seau soit vide. 7 gallons plus tard c'est fait. Puis je pompe un gallon d'eau froide que je passe dans le circuit pour rincer. 8 minutes suffisent pour la conversion.

Russ écrit…

J'ai employé un refroidisseur d'eau « modifiée » pour le refroidissement… de mes enroulements de cuivre dans le « seau » normalement placé sous la bouteille plus fraîche - c'est assez grand pour faire un serpentin de plus de 5 mètres de tuyaux. Quelques modifications (très simples) au thermostat m'ont permis une action très rapide qui va de, sérieusement froid, à glace fondante ou même glace. J'ai même adapté une pompe qui force une partie de l'eau glacée dans une doublure autour du tube droit. Ça s'est avéré très efficace et c'est le meilleur de tous les refroidissements que j'ai pu bricoler vraiment bon marché. Si quiconques sont intéressés ils devraient aller voir

http://www.DrinksProblems.com - (compagnie de frères) - ils sont spécialisés dans l'entretien de machines d'Expresso, de tests de chaudière, de pompes, etc. et ont été une source très utile pour les pièces de rechange. Ils seront heureux d'expédier vos commandes.

Contrôle de l'Eau

Si vous voulez vraiment pinailler, vous pouvez essayer d'ajuster le refroidissement de sorte qu'il augmente le ratio de reflux aux étapes ultérieures de la passe, afin de maintenir un rendement de grande pureté. Je ne prends pas cette peine - je contrôle juste chaque demi-heure ou avec le doigt pour voir si ce n'est pas trop chaud et s'il faut augmenter le débit.

Colonne à reflux Garnie

Une règle générale dominante est un diamètre de 30-55mm, et une hauteur de 600-1000 mm (14-20 fois le diamètre). (voir Calculer un Alambic à Reflux pour adapter précisement ces données à vos exigences). Si c'est trop étroit, le liquide issu du reflux essayant de retourner dans l'alambic sera soufflé vers le condenseur par la vapeur ; si c'est trop loin il se refroidira trop (et aucune vapeur ne se produira - tout condense prématurément), ou il y aura un contact mal adapté entre le liquide et la vapeur et il se fera peu d'épuration. En cas de doute, soyez légèrement trop grand, puis rentrer une tige ou deux en acier inoxydable à travers le packing pour diminuer le volume. Le meilleur packing à employer est la laine d'acier inoxydable. Bourrer autant que possible, mais néanmoins assez lâche pour pouvoir facilement souffler par le tube si vous essayez. Placer le pré-condenseur AU-DESSUS du packing, de sorte que lorsque le liquide condense il tombe dessus et passe au travers. Quelques designs (par exemple Partyman et StillMakers) ont le condenseur au-dessous. Malgré tout ces colonnes fonctionnent, la seule épuration se faisant par l'intermédiaire de la vapeur et du liquide qui s'est refroidi à l'intérieur du packing - une faible quantité. Plus le ratio de reflux à travers le packing est grand (le rapport du liquide qui tombe par rapport à la vapeur qui monte), plus fort sera l'alcool.